A la taille de Guèpe elfique.

Ce magasins délabrée est emplie de vêtements de différentes formes et de différents tissus. La marchant attend des clients de plus en plus nombreux dans cette ville très riche.

Début

Elle entra dans la boutique timidement et en fit le tour rapidement avant de revenir vers le vendeur.

(elle est pas décidée la petite Tiffany aujourd'hui... vivement une auberge....)

"Vous désirez? mademoiselle."

"Bonjour, est-ce que vous acceptez cette monnaie, demanda-t-elle en lui montrant une pièce de palim.

"Bien sûr mademoiselle, A la capitale on accepte toutes les monnaies."

"Génial ! s'exclama-t-elle, comme ça je pourrais passer le temps en complétant ma garde-robe ! Où pourrais-je essayer des vêtements ?"

"Les cabines sont ici!"
Il vous montre une petite pièce a l'arrière du comptoir.

"Merci bien."
Elle se dirigea vers l'allée des robes et sortit celles qui lui plaisaient le plus. Une fois quelques unes sélectionnées, elle alla dans la cabine et en mit celle qui lui rappela le plus son désert dans ses reflets.

(Décrit la mieux, que je voye pour le prix)

Le marchand attent tranquillement surveillant le nombre d'articles que vous avez prit.

Elle sortit de la cabine d'un pas coquet et révela la première robe au vendeur. De loin, elle semblait quelconque mais plus on s'approchait et plus on croyait voir des dunes dont les reflets s'instensifiaient selon la silhouette de Tiffany. Et si on s'approchait encore, c'est tout le "caractère" de la robe et de sa propriétaire qui apparaissaient !
Mais là où le plus de détails apparaissaient, c'était dans ses mouvements... Une simple marche chaloupée faisait autant vibrer le sable virtuel de la robe que l'air qui suivait cette danse.
Tiffany paru conquise et fit quelques allers-retours le long de l'allée qui se couvrit de flammes indolores que Tiffany calma d'un geste. La robe se calma aussi et reprit une teinte dorée. Quant au tissu, Tiffany douta longtemps sur son origine mais devina qu'il devait s'agir de soie.

Le marchant se frotta les mains en vous regardant ainsi affublée.

"Cette robe est impressionnante, comment arrivez-vous à lui donner ses teintes et ses reflets ?"

"Secret professionel mon enfant, mais je doute que vous ayez les moyens de vous l'offrir"

"J'en ai bien peur oui... Mais croyez-bien que je n'oublierai ni votre magasin, ni cette robe."
Elle se retourna vers le miroir pour mémoriser chacuns des détails de celle-ci. Elle se retourna vers le vendeur et lui demanda :
"Avez-vous des tuniques qui plus dans mes moyens ?"

"Mais attendez, je ne vous ai même pas donné le prix exact. En revanche je pense que vous devriez essayer avec..."

Il vas chercher un petit diadème d'or

"Avec ceci" dit-il avec un grand sourire

Etonnée par cette proposition, elle mit néanmoins le diadème et se regarda dans le miroir.

Le diadème pris une teinte or et orange, il avais la forme d'une flamme intincelante.

"Ce diadème est fait pour tout être maitrisant assez l'élément du feu."

*Un artefact destiné au feu dans une cité dévouée à l'air ? Etrange...*

"Pensez-vous que sa réaction signifie qu'il m'accèpte ? Par contre lui non plus ne sera pas donné..."

"Je dirais pltôt que c'est votre magie qui l'as accepté, dit il un grand sourire au lèvres. IL coute bien plus cher que la robe, mais vu l'effet, je vais réduire les prix"

"C'est vrai, vous feriez ça ? Dans ce cas, je crois que nous allons faire affaire ensemble ! A combien estimeriez-vous l'ensemble ?"

"La robe est a 10 ornilies et 50 palimes, le diadème a 50 Ornilies, habituellement c'est le triple."

"Je pense que je vais les prendre monsieur. Je vais me changer puis je regarderais vos tuniques."
Elle retourna dans la cabine et en ressortit quelques minutes plus tard avec ses habits habituels.

Le marchand pris vos articles et les déposa, pliée sur le comptoir, à ses coté.

Elle le suivit et sortit sa sacoche. Elle en sortit les pièces qu'il lui avait demandé et les posa sur le comptoir.

"Bien, merci mon enfant."

Il vous tendit vos articles rangés dans un sac en toile.

"J'espère vous revoir bientôt"